AMSOFREE est une marque de t-shirts et sweats graphiques, pour toutes et tous, qui s’animent grâce à la réalité augmentée.

Innovation

// D’OÙ ÊTES-VOUS ORIGINAIRE ?

Je suis une Rémoise pure souche, je suis née à Reims, j’y ai fait ma scolarité et j’y suis installée depuis que je travaille.

// QUE FAITES-VOUS À REIMS ?

J’ai un parcours plutôt atypique. Après des études en communication, je me suis spécialisée dans la commercialisation des vins : en bonne Champenoise, le vin est une de mes passions. J’ai travaillé pendant plusieurs années dans ce secteur, puis j’ai bifurqué dans l’architecture où j’ai travaillé comme chargée de communication et graphisme.

Le graphisme étant une autre de mes passions, j’ai commencé à créer des t-shirts et j’ai eu envie d’aller plus loin, de créer des histoires avec des vêtements, et de proposer une expérience d’habillement joyeuse et ludique. C’est comme ça que mon projet AMSOFREE est né, et que je me suis lancée dans la grande aventure de l’entrepreneuriat.

AMSOFREE est une marque de t-shirts et sweats graphiques, pour toutes et tous, qui s’animent grâce à la réalité augmentée. A l’aide d’une application de réalité augmentée il suffit de scanner le visuel du vêtement pour le voir littéralement prendre vie et s’animer.

On offre également la possibilité de personnaliser le vêtement - on choisit le visuel puis la coupe et les couleurs - qui est ensuite produit à la demande et imprimé à Reims. Ce sont bien sûr des vêtements éco-responsables, en coton biologique ou polyester recyclé, à destination des enfants et des adultes.

// QUELLES SONT LES ACTUALITES DE VOTRE ENTREPRISE ACTUELLEMENT ?

Je suis incubée INNOVACT depuis quelques mois et grâce à leur accompagnement les choses se sont pas mal accélérées.

AMSOFREE est en phase de pré-lancement : le site est en ligne https://amsofree.com

La partie e-shop est en développement, la marque est présente sur Instagram @amsofree.clothes, et la première gamme de vêtements est prête. A priori le lancement officiel aura lieu au printemps.

// QU’AVEZ-VOUS TROUVÉ À REIMS QUE VOUS N’AVEZ PAS VU AILLEURS ?

Il y a depuis quelques années une vraie volonté de dynamiser la ville, aussi bien au niveau économique avec les différentes structures d’accompagnement pour les entrepreneurs, qu’au niveau culturel avec entre autres Quartier Libre, la Cartonnerie et le festival la Magnifique Society, ou encore au niveau de l’urbanisme avec la transformation des Promenades et l’émergence de nouveaux quartiers.

Et Reims est une ville à taille humaine : contrairement à d’autres grandes villes, ici on se déplace facilement, et on bénéficie de la proximité avec Paris et Bruxelles, deux capitales européennes.

// VOTRE LIEU PRÉFÉRÉ À REIMS ?

Quartier Libre, aussi bien leur espace événementiel la Petite Halle rue de Vernouillet pour le bar et leurs différents events, conférences, expositions, ateliers, concerts, que leur friche estivale Magasin Libre - pour laquelle j’ai eu le plaisir de concevoir la signalétique - avec les œuvres de street-art et le bar en plein air. Cela sort un peu des sentiers battus et c’est “kids-friendly” donc pratique quand on a comme moi des enfants.

// QUEL SERAIT VOTRE WEEK-END À PROPOSER POUR DÉCOUVRIR REIMS ?

Je proposerais une promenade au Parc de Champagne, puis la visite des caves Pommery pour découvrir des œuvres d’art contemporain au milieu des crayères de champagne.

Pour déjeuner pas loin, déguster une délicieuse pizza d’Eduardo cuite au feu de bois à l’Etna (156 boulevard Pommery) ou la cuisine savoureuse du Petit Carbet (33 avenue Clémenceau).

Puis direction le centre-ville pour découvrir la cathédrale, aller flâner place du Forum et boire un verre dans un des bars du quartier Boulingrin.

Et pourquoi pas aller voir un match au stade Auguste Delaune pour encourager le Stade de Reims. Mon grand-père a disputé en tant que gardien du Stade la mythique première finale de la coupe d’Europe en 1956, nous sommes supporters du Stade depuis plusieurs générations, mon oncle a même composé un hymne en l’honneur du Stade ! (Romain J – En Rouge et Blanc).

Enfin en sortant si on a un petit creux aller manger la pasta de Michel à la Casa d’Urso (1 rue du Barbâtre)

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Dernière mise à jour : 17 mai 2024

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